Coucou tout le monde. Mon amie et moi jouons parfois a Dongeons et Dragons. J'ai décidé de mettre nos avantures en histoire
Alors voilà, pour ceux que sa intéresse, le commencement de notre aventure ...
Je vais vous raconter l’histoire de mon amie Euphémia, une jeune Halfeline roublarde de 20 ans et de moi, une elfe rôdeur de 110 ans.
Depuis une semaine on était dans un camp de réfugié. C’est là qu’on s’est rencontré. Enfin … C’est ce qu’on croit. En fait on ne se rappelait plus de rien de notre vie d’avant. C’était comme un vide. Tout commença un certain matin froid et nuageux. Euphémia fut réveillée par le bruit des épées qui s’entrechoquaient à l’extérieur. Je ne dormais pas, je l’ai donc regardé avec un sourire. En effet, les elfes ne dorment pas. Ils ont seulement besoin de méditer 4 heures par jours. On sortit donc de la tente pour aider les autres avec la nourriture et s’entraîner. Les jours étaient toujours les mêmes, toujours aussi ennuyant les uns que les autres. Tout à coup, j’entendis au loin les cris d’une bataille. Le chef, qui avait aussi entendu le massacre décida qu’on devrait partir à l’aube pour rejoindre nos alliés et se battre à leurs cotés. Après une bonne nuit on partit donc à l’aventure laissant le camp derrière nous. Les jours passèrent, longs et éprouvant mais notre envie de se battre était plus forte que tout. On arriva enfin sur une plaine. Un cavalier approchait, un drapeau blanc à la main en signe de paix. Le chef le rejoignit et ils parlèrent pendant un petit bout de temps. J’essaya d’entendre ce qu’ils disaient mais en vain. Je ne compris que quelques mots inutiles. Quand ils eurent finis, il s’avança vers nous pour nous dire que l’armée était en guerre et que l’on devait les aider. C’est à ce moment qu’une pluie de flèches tomba soudainement du ciel. Je regardai pour voir de quoi il s’agissait. Malgré ma vue plus développée que les hommes je ne pu voir que des silhouettes étranges. On aurait dit des griffons ou des insectes, un truc du genre. Personne ne semblait blessé sauf le cavalier qui lui, avait été tué. Son cheval avait une flèche dans la patte. Pendant que les autres se sauvaient dans la forêt, je décidai de m’en occuper. Je réussis donc difficilement à l’approcher et à le guérir. On passa la nuit à l’orée de la forêt en attendant que la bataille se soit calmée. Le lendemain on aperçut au loin des soldats qui brûlaient des corps. Il y avait aussi un drapeau dont je ne pouvais distinguer le signe. Je remarquai que Euphémia avait l’air bizarre. Je lui demandai si tout allait bien.
-Oui tout va bien. Par contre, je viens d’avoir une sorte d’illusion. Il y avait un chevalier, une armée complète en fait. C’était la guerre et je voyais là-bas un drapeau avec un arc dessus, me dit-elle d’une petite voix inhabituelle.
Je n’eu pas le temps de la réconforter un peu que le chef annonça que les soldats au loin allait nous héberger. Cependant, ils partirent le lendemain matin… Notre petit groupe continua donc sur le chemin jusqu’au petit village. On était enfin libre de prendre nos propres décisions. On commença par une bonne nuit de sommeil dans une chambre luxueuse de l’hôtel. Quand on fut assez reposée on décida d’aller à la plage. Ce serait sûrement plus intéressant que de rester ici. On galopa donc jusqu’à l’endroit voulu. On fut témoins d’une scène effroyable. Une homme avec une dague à la main poignarda un autre homme avant de partir en courant pour nous fuir.
-Traître ! Cria le blessé avant de tomber par terre.
Figée je ne savais plus quoi faire. Mon amie me proposa de le soigner un peu. Du moins, les premiers secours. Je fis ce qu’elle m’avait proposée.
-Maintenant, retourne au village avec cet homme pendant que je poursuit le traître, dis-je d’une voix assurée.
-D’accord, rejoins moi au village ce soir, répondit-elle avant que je la prennes pour la monter sur le cheval.
Elle partit tout de suite. Je suivis pendant quelques heures les traces du fautifs. Je me retrouvai devant une grotte. J’entra lentement. Il y avait là trois chemins. Suivant mon instinct de rôdeur, je pris celui de gauche. J’arrivai devant une porte en bois délabré. On pouvait entendre à l’arrière de la musique. Ça semblait être une taverne ou une cachette. J’hésitai un peu avant d’entrer. Après tout, ils étaient quatre. Je décidai d’y aller, je n’avais rien à perdre. Ils furent surpris de me voir ainsi pénétrer dans la pièce. J’attaqua le premier et le tua d’un coup. Je fis de même avec le deuxième. Le troisième quand à lui, me blessa un peu. Je le tuai quand même facilement. Le quatrième était dans un coin reculé. C’était lui le traître. Je l’immobilisa et lui posa quelques questions.
-Pourquoi avez-vous faits ça ? Commençai-je.
-Ce n’est pas de vos affaires me répondit-il d’une manière impolie.
Je le frappai pour qu’il avoue tout.
-D’accord d’accord, dit-il. Je travaille pour les romains. Je suis en mission, ils m’ont dit de tuer cet homme.
-Et pourquoi donc ?
-Je ne sais pas, reprit-il. Je vous en supplie, épargner-moi !
Je réfléchis quelques secondes et le tua. Il devait payer pour son acte de traîtrise et il était moins dangereux mort. Je pris tout ce que je trouva qui pouvait être utile; des pièces d’or, un tableau de valeur et un outil de maître cambrioleur supérieur. Je repris la route vers le village. Quand j’y arrivai, je vis Euphémia seule avec notre cheval. Elle semblait heureuse. Je lui demandai ce qu’il s’était passé.
-Quand je suis arrivée ici j’ai vu caché dans un buisson un homme avec une dague et une cape verte. Il n’avait pas l’air gentil. Je l’ai attaqué par-derrière et tué sur le coup. Je l’ai fouillé et j’ai trouvé pleins d’objets en or qui pourrait nous rapporter beaucoup. J’ai aussi trouvé une rapière, meilleure que la tienne. C’est une arme magique et elle sait parler. Elle se nomme Arcanis, la voici.
Elle me donna l’arme. Avant de faire connaissance avec celle-ci, je lui donnai l’outil pour maître cambrioleur. Je dégainai ensuite Arcanis.
-Mais qui êtes-vous ?! cria-t-il.
-Je suis ta nouvelle maîtresse, lui dis-je calmement.
-J’espère que vous êtes intelligente. L’autre avant était stupide. Peu importe … Montrer moi votre carte et je vous indiquerai ou se trouve la capitale.
C’est ce qu’on fit. Il nous indiqua qu’elle se trouvait à une demi-journée d’ici, vers le sud. On alla dormir à l’auberge pour repartir le lendemain le plus tôt possible. Après une longue promenade à cheval, on arriva à la capitale. C’était magnifique, incroyable. C’était grand et majestueux. Euphémia alla voir les gardes.
-Bonjour, nous souhaitons entrer dans la capitale, dit-elle poliment.
-Nous devons d’abord vous fouiller chères dames, répondit-il.
Ils nous fouillèrent un peu mais sans trouver rien de vraiment menaçant. Après 5 minutes d’attente pour que les portes ouvrent, ont pu entrer et apercevoir l’extraordinaire ville. Je n’avais jamais rien vu de plus beau de toute ma vie. On vit plus loin une écurie. C’est là qu’on déposa le cheval avant d’aller vendre tous nos objets pour s’enrichir un peu …
À suivre …